Le thé provient d’un seul arbuste : Camellia sinensis. Blanc, vert, oolong, noir ou post-fermenté (pu-erh) : tout vient de la même plante. La différence : le process (flétrissage, oxydation, roulage, chauffe) qui modifie goût et profil chimique.
Historiquement : thé noir. Recherche et pratique artisanale : excellent aussi avec thé vert. Le duo vert+noir est un classique.
Les “tisanes” (plantes sans Camellia sinensis) ne suffisent pas à nourrir la culture dans la durée.
Le thé apporte des nutriments et composés essentiels pour le SCOBY : azote, caféine, théanine, polyphénols. Avec le sucre, c’est le “carburant” de la fermentation. Les polyphénols deviennent plus biodisponibles après fermentation : un atout pour la boisson finale.
Envie d’exotisme (kukicha, genmaicha, matcha, pu-erh…) : testez sur de petits volumes, avec du starter supplémentaire d’un hôtel à SCOBY en pleine forme.
≈ 2 à 3 cuillères à café (ajustez selon force souhaitée et type de feuilles).
Utilisation unique recommandée pour le kombucha : éviter la réinfusion.
Possible sur 1-2 brassins, mais sur la durée : culture moins vigoureuse. Préférer le thé caféiné (la fermentation réduit la caféine en sortie).
Environ 4 à 6 c. à café par gallon (≈ 3,8 L) : à ajuster selon vos feuilles et vos goûts. En métrique : 2 à 3 c. à café par litre fonctionne très bien.
Pour le kombucha : non recommandé. Utilisez-les une fois puis composter.
Occasionnellement oui, mais sur le long terme la culture perd en vigueur. Préférez du thé caféiné : la teneur en caféine chute durant la fermentation.
Ajoutez les arômes en deuxième fermentation (F2) : après retrait du SCOBY et du starter du lot suivant.
Traditionnellement : 100% thé vert. Vous pouvez tester d’autres thés sur petits volumes, mais la plupart reviennent au vert pour le goût et l’équilibre.
Contenu informatif : ne remplace pas un avis médical.
